Respire

Lecture chorégraphique en milieu scolaire, médiathèque. à partir de 3 ans. L’idée de ce projet est née de la rencontre entre un centre culturel, une bibliothèque et une compagnie de danse : construire ensemble un projet chorégraphique autour d’une sélection d’ouvrages jeunesse à destination des yeux et des oreilles dès le plus jeune âge.
La thématique, l’enfant et la nature.
Deux livres « L’enfant du jardin » de Marianna Ruiz Johnson et « La Vague » de Suzy Lee sont choisis.
Pour cette création, La Locomotive s’associe à Caroline Dassieu (Cie La Gouttelette).
Le jeu peut commencer !
Construire une structure chorégraphique rythmée par les émotions et les situations couchées sur le papier.
En imaginant le fil conducteur entre les 2 livres, il s’agit de créer une histoire dans les histoires ; sans pour autant perdre le sens de chacune. Pages après pages les mots sonnent et les pas résonnent. Les danseuses deviennent les personnages animés et explorent les situations figées.

Projet Artistique et Culturel en Territoire Educatif 2021-2022_École Aimée Leclerc, Savigny-sur-Orge (91), Projet PACTE 2022-2023_École Joliot-Curie, Bagneux (92)

 

L’île déboussolée

2016 – 2017 – 2018 Le projet L’Île déboussolée est porté par la Cie La Locomotive et a été réalisé par Amélie Port (chorégraphe - danseuse), Stéphane Bientz (auteur - comédien) et Bruno Michellod (Artiste plasticien) dans le cadre du Passeport pour l’Art de la ville de Toulouse.


Ce parcours est une aventure extraordinaire à la découverte d’une civilisation disparue, celle de L’Île déboussolée. À travers la danse, les arts plastiques et l’écriture, les habitants et leurs coutumes vont renaître.

Le processus artistique explore le hasard et la transmission. Le hasard intervient à chaque étape pour former et redistribuer les groupes d’élèves travaillant ensemble. La transmission permet de coconstruire, de se détacher du travail effectué en le faisant continuer par l’autre. Cette démarche de création aide à conjuguer son monde avec celui de l’autre pour arriver à un résultat commun.

L’Île déboussolée est un projet transdisciplinaire où chaque exploration artistique interroge le mieux vivre ensemble.

En résumé, L’Île déboussolée favorise la communication entre les élèves (la coopération, le dialogue, la discussion), le «travailler à plusieurs», penser par soi-même et avec les autres, partager son travail (ses créations), ses idées et accepter les idées des autres.

 

Délie Me

En 2014, Les projets Délie Me et Des masques et moi  ont été réalisés en collaboration avec Bruno Michellod, plasticien (brunomichellod.fr) et Stéphane Bientz, auteur-comédien. Il a été mis en œuvre à l’espace St-Cyprien de Toulouse avec Ingrid Coumes-Marquet (coordinatrice), Stéphane Redon et Jean-Luc Aribaud (animateurs photo) et un groupe de sept pré-adolescentes de 12 à 14 ans.


Les projets Délie Me et Des masques moi s’inscrivent dans le cadre d’un stage stage danse/écriture, donné par Amélie Port et Stéphane Bientz, couplé avec le stage photographie/arts plastiques donné par Bruno Michellod, pendant cinq jours durant les vacances d’automne.

Ces stages ont pour objectif de créer des ponts entre les différentes pratiques artistiques tout au long de la semaine pour une restitution commune le vendredi.

Le projet Délie Me :DANSE

Point de départ : la sensation/sentiment d’ennui.

Déroulement : exploration du corps en mouvement et découverte d’une gestuelle de l’improvisation à la chorégraphie à travers des contraintes de rythme et d’espace.

Objectif : créer une performance circulant à travers le mouvement, le texte et la matière plastique

ÉCRITURE

Point de départ : le mot « ennui ».

Déroulement : exploration de jeux d’écriture à travers des contraintes spécifiques, contraintes d’écriture et contraintes corporelles.

Objectif secret (ne pas dire aux stagiaires l’objectif de l’atelier écriture) : construire une bande-son à partir des écrits de chacun des stagiaires qui servira à la restitution.

Des masques et moi s’est construit autour d’un travail photographique sur le portrait et d’un travail plastique sur le masque.

L’île déboussolée

2016 – 2017 – 2018 Le projet L’Île déboussolée est porté par la Cie La Locomotive et a été réalisé par Amélie Port (chorégraphe - danseuse), Stéphane Bientz (auteur - comédien) et Bruno Michellod (Artiste plasticien) dans le cadre du Passeport pour l’Art de la ville de Toulouse.


Ce parcours est une aventure extraordinaire à la découverte d’une civilisation disparue, celle de L’Île déboussolée. À travers la danse, les arts plastiques et l’écriture, les habitants et leurs coutumes vont renaître.

Le processus artistique explore le hasard et la transmission. Le hasard intervient à chaque étape pour former et redistribuer les groupes d’élèves travaillant ensemble. La transmission permet de coconstruire, de se détacher du travail effectué en le faisant continuer par l’autre. Cette démarche de création aide à conjuguer son monde avec celui de l’autre pour arriver à un résultat commun.

L’Île déboussolée est un projet transdisciplinaire où chaque exploration artistique interroge le mieux vivre ensemble.

En résumé, L’Île déboussolée favorise la communication entre les élèves (la coopération, le dialogue, la discussion), le «travailler à plusieurs», penser par soi-même et avec les autres, partager son travail (ses créations), ses idées et accepter les idées des autres.

 

Délie Me

En 2014, Les projets Délie Me et Des masques et moi  ont été réalisés en collaboration avec Bruno Michellod, plasticien (brunomichellod.fr) et Stéphane Bientz, auteur-comédien. Il a été mis en œuvre à l’espace St-Cyprien de Toulouse avec Ingrid Coumes-Marquet (coordinatrice), Stéphane Redon et Jean-Luc Aribaud (animateurs photo) et un groupe de sept pré-adolescentes de 12 à 14 ans.


Les projets Délie Me et Des masques moi s’inscrivent dans le cadre d’un stage stage danse/écriture, donné par Amélie Port et Stéphane Bientz, couplé avec le stage photographie/arts plastiques donné par Bruno Michellod, pendant cinq jours durant les vacances d’automne.

Ces stages ont pour objectif de créer des ponts entre les différentes pratiques artistiques tout au long de la semaine pour une restitution commune le vendredi.

Le projet Délie Me :DANSE

Point de départ : la sensation/sentiment d’ennui.

Déroulement : exploration du corps en mouvement et découverte d’une gestuelle de l’improvisation à la chorégraphie à travers des contraintes de rythme et d’espace.

Objectif : créer une performance circulant à travers le mouvement, le texte et la matière plastique

ÉCRITURE

Point de départ : le mot « ennui ».

Déroulement : exploration de jeux d’écriture à travers des contraintes spécifiques, contraintes d’écriture et contraintes corporelles.

Objectif secret (ne pas dire aux stagiaires l’objectif de l’atelier écriture) : construire une bande-son à partir des écrits de chacun des stagiaires qui servira à la restitution.

Des masques et moi s’est construit autour d’un travail photographique sur le portrait et d’un travail plastique sur le masque.

500 Là Haut

En 2017 Le projet 500 Là Haut est crée dans le cadre du 500ème anniversaire de la ville du Havre. Il est mené par Amélie Port et Yan Giraldou (chorégraphes - danseurs) et Stéphane Bientz (auteur - comédien). Projet soutenu par la DRAC Normandie dans le cadre des résidences artistiques en milieu scolaire.